Viennent en premier lieux les travaux d'isolation. En effet, selon l'enquête, 40% des personnes interrogées ont admis avoir réalisé des travaux d’isolation en 2014. C’est le moyen le plus efficace pour réduire le déficit de chaleur en hiver et pour protéger votre habitat des pics de chaleur extérieure durant l'été. Cela permet donc de réaliser des économies d'énergie significatives.
L'installation des chaudières à condensation arrive en seconde position (27% des sondés). Le remplacement de l’ancien équipement par des chaudières récentes plus économes et respectueuses de l’environnement permet des économies notoires.
Arrive enfin l'installation d'équipements de chauffage au bois (19% des sondés). Ces derniers son majoritairement anciens et nécessitent d'être remplacés par un appareil plus récent, plus performant et limitant les pollutions à l’intérieur du domicile. Ce renouvellement est bien évidemment favorisé par l’existence d’un crédit d’impôt de 30%.
Selon l'enquête, ce sont les retraités (37%) et les cadres (24%) qui sont principalement à l’initiative des travaux de rénovation énergétique. Cette représentation des catégories socio-professionnelles s’explique par le besoin de disposer d’un budget confortable pour s’assurer de la qualité des travaux entrepris. Plusieurs aides financières (Eco-PTZ, TVA à 5%, réduction dimpôts, etc.) existent mais restent bien trop méconnues du grand public.
D'ailleurs, le budget accordé par les personnes interrogées peut varier du simple au triple. Si la majorité des sondés ont accordé un budget de 5 000€ pour la réalisation de leurs travaux de rénovation énergétique, il peut dépasser les 15 000€ pour 10% des sondés.
Enfin, les foyers les plus concernés sont les couples avec (39%) ou sans enfant (48%) installés en maison dans 98% des cas et exclusivement propriétaires.
Contactez Actemiss, votre bureau d’étude thermique, pour tout complément d’information sur l'attestation thermique RT2012 (pour votre maison neuve) ou sur le DPE, avant de réaliser des travaux de rénovation énergétique.
Le DPE fait partie de la batterie de diagnostics qui doivent être produits à l'acheteur d'un logement. Diagnostiquer signifie constater une situation. Or, en matière de performance énergétique, la question clé pour l'acquéreur est de savoir combien il lui en coûtera pour se chauffer, de même que la nature des travaux qui lui sont conseillés pour réduire sa facture énergétique. Dés lors, si vous achetez un bien classé B et qu'il se révèle de classe E, le montant des factures ainsi que les frais à engager pour améliorer la performance énergétique du bien seront bien plus élevés. Le DPE est fortement erroné et est source de préjudice.
Dans ce cas, la première chose à faire est d'avertir le vendeur. Ce dernier devra contacter son diagnostiqueur immobilier pour l'informer sur le contenu du DPE. Si l'erreur est avérée, essayez de résoudre le problème à l'amiable.
En cas de problèmes, plusieurs actions sont possibles:
L'article L271-4 stipule que "l'acquéreur ne peut se prévaloir à l'encontre du propriétaire des informations contenues dans le diagnostic de performance énergétique qui n'a qu'une valeur informative".
Néanmoins il existe des cas ou le vendeur ou bailleur peut être condamné:
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En France, 5000 ETI et grandes entreprises sont soumises à cette obligation, issue du décret du 24 novembre 2014. Les grandes entreprises sont celles de plus de 250 salariés ou qui réalisent plus de 50 millions d’euros de chiffre d’affaires ou qui présentent un total de bilan supérieur à 43 millions d’euros. Elles doivent réaliser un audit énergétique sur 65 % du montant de leurs factures d'énergie. Ce taux passe à 80% si l'audit est réalisé après le 5 décembre. Seules les entreprises certifiées IS0 15001 sont exemptées de cette obligation.
Certaines d'entre elles étaient réunies au Forum Energy Time Paris, le 16 juin dernier, pour rencontrer des professionnels offrant des solutions aux entreprises pour mieux acheter, gérer et exploiter l’énergie. Mais aussi pour échanger sur leurs pratiques en termes d'économie d'énergie. Ces dernières sont en constante évolution et les grandes entreprises n'hésitent plus à nommer un "Monsieur Energie" chargé de mettre en place des politiques énergétiques ambitieuses tout en agitant les consciences, tant sur l’intérêt économique de telles mesures que sur l'impact écologique.
La mise en place de ces pratiques permettent d'en tirer les premiers enseignements tels que:
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